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Andy stands confidently with his hands in the pockets of his orange hoodie.

Faites la connaissance d’Andy

Andy ne laissera pas l’insuffisance veineuse chronique le retenir

Andy a toujours aimé se dépasser et essayer de nouvelles choses. Toutefois, son insuffisance veineuse chronique (IVC) commençait à le freiner dans ses activités. Il a donc cherché un diagnostic et commencé des traitements. Plongez dans son parcours inspirant ci-dessus*

* Il s’agit du témoignage personnel d’un patient qui ne reflète pas nécessairement les connaissances de JOBST ni l’état actuel de la science. Demandez toujours l’avis d’un professionnel de la santé si vous présentez des symptômes de maladie.

Andy étire son bras, portant des bas de compression JOBST Sport.

« On associe généralement ma maladie aux personnes âgées. »

Malgré la présence de signes et de symptômes, comme les jambes lourdes et décolorées, les plaies et les ulcères, Andy a refusé de se laisser abattre par l’insuffisance veineuse chronique. Il a subi une chirurgie vasculaire pour les veines, a adopté un régime alimentaire plus sain et a commencé à porter des bas de compression pour hommes. Les résultats ont changé sa vie. Il est impatient de sensibiliser le public à l’insuffisance veineuse chronique et de mettre fin à l’idée fausse selon laquelle cette maladie ne touche que les personnes âgées. Il veut notamment que les jeunes sachent qu’un diagnostic et qu’un traitement précoce faire toute la différence. C’est pourquoi Andy a joint notre équipe de nage synchronisée. Car, évidemment, Andy est toujours prêt à essayer quelque chose de nouveau.

« Les bas de compression ont transformé ma maladie en une situation tout à fait gérable. »

Andy, comment vivez-vous avec votre maladie?

« Physiquement, il y a des moments où l’on ne se rend pas compte que l’on est atteint. Mais à d’autres moments, on peut avoir les jambes très lourdes, on peut éprouver des sensations de brûlure, on peut enfler. Parfois on se sent tout simplement fatigué parce qu’on a l’impression de porter du poids supplémentaire du fait que le sang s’accumule dans vos jambes. Et sur le plan des émotions, surtout quand j’ai commencé, […] c’était assez difficile parce que je me sentais seul. Je ne connaissais personne d’autre ayant cette maladie, à part peut-être des personnes beaucoup plus âgées que moi. »

Quel est l’impact de la maladie sur votre quotidien?

« Il y a des jours où je dis à ma femme : “je n’arrive à rien aujourd’hui”. Puis je m’allonge avec les jambes relevées. Et c’est vraiment la meilleure façon de faire cesser la douleur ces jours-là. Je suis un concepteur-pigiste, j’ai donc la chance de pouvoir faire ça. Et il y a d’autres jours où je ne me rends même pas compte que je suis atteint. »

Comment prenez-vous en charge votre maladie?

« Si j’avais connu cette maladie avant qu’elle n’atteigne son stade actuel, j’aurais commencé à porter des bas de compression plus tôt dans ma vie […]. Ça, c’est un message très important à faire passer dans la population. Si vous remarquez une décoloration de la peau de vos jambes ou si vos jambes sont lourdes, allez chercher de l’aide et des conseils. […]. Dans mon cas, porter des bas de compression a transformé ma maladie en une situation tout à fait gérable. »

Comment s’est passée la nage synchronisée?

« Eh bien, c’est vraiment intéressant parce que nous sommes 6 personnes de 6 horizons différents, de tailles différentes, avec des morphologies différentes. On est tous différents, mais quand nous sommes dans la piscine, nous sommes tous pareils. Notre maladie nous rend égaux, on devient tous égaux. Nous apprenons donc tous ensemble et il y existe une belle camaraderie entre nous. »

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