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Claire standing with hands on hips, wearing a blue dress and compression sleeve on her right arm.

Faites la connaissance de Claire

Claire ne laissera pas le lymphœdème la retenir

Claire souffre de lymphœdème depuis sa naissance. À l’époque, aucun médecin n’avait la moindre idée de la cause de l’enflure de ses jambes et on a diagnostiqué, à tort, qu’elle souffrait d’un pied bot. Aujourd’hui, mère de 49 ans et chef d’entreprise prospère, elle raconte comment elle a fait face et a appris à continuer à lutter contre sa maladie. Lisez son histoire ci-dessous. *

* Il s’agit du témoignage personnel d’un patient qui ne reflète pas nécessairement les connaissances de JOBST ni l’état actuel de la science. Demandez toujours l’avis d’un professionnel de la santé si vous présentez des symptômes de maladie.

Claire porte JOBST FarrowWrap sur un bras et une jambe.

« Vous n’avez pas à vous cacher »

Claire vit avec un lymphœdème primaire depuis son enfance, mais son état s’est aggravé après la naissance de sa fille ainée. Bien qu’elle n’ait pas reçu le bon diagnostic au départ, et qu’elle ait subi une liposuccion sans succès, elle a refusé de se laisser confiner par la maladie. Aujourd’hui, elle prend en charge sa maladie, notamment en portant des vêtements de compression et souhaite sensibiliser le public au lymphœdème. Lors d’une conférence médicale, elle a même utilisé des bouteilles d’eau pour démontrer le poids supplémentaire qu’elle doit porter au quotidien, dans l’espoir de susciter l’intérêt et d’inspirer d’autres personnes dans la communauté. « Je veux que les gens sentent qu’ils n’ont pas à se cacher. Ce n’est pas une honte. Pas du tout. »

« Tout le monde a son domaine d’intérêt. Le mien, c’est le lymphœdème. »

Claire, quelle est votre maladie et comment a-t-elle été diagnostiquée?

« Je souffre d’un lymphœdème primaire depuis ma naissance. […] Mais, c’est lorsque je suis tombée enceinte de ma fille aînée et que j’ai commencé à nager. […] Personne ne savait ce que j’avais, personne ne m’avait encore traitée. Puis finalement un jour, j’ai reçu des soins, parce que quelqu’un m’a mise en contact avec le professeur, le Dr K., il m’a aidée. »

Quel est son impact sur votre quotidien?

« L’impact, c’est devoir transporter l’équivalent de 3 bouteilles de 2 l d’eau dans un sac de plastique sur votre jambe. […] Cela peut être très contraignant, cela peut vous isoler beaucoup. Vous avez constamment l’impression de ne pas être à votre place. […] En vieillissant, j’ai en quelque sorte éliminé ces choses-là de ma tête. Tout le monde est différent. Tout le monde a son domaine d’intérêt. Le mien, c’est le lymphœdème. »

Que pensez-vous des vêtements de compression?

« Si je n’avais pas eu ces bas, je serais probablement confinée à la maison aujourd’hui. […] Je ressens une sorte de picotement lorsque je ne les porte pas et que je suis en train de faire quelque chose. Je peux sentir les picotements commencer, comme s’ils me disaient qu’il faut que j’aille mettre mes bas. C’est comme un sixième sens, j’imagine. Mais on en a besoin. Ça nous fait du bien. »

Comment s’est passée la nage synchronisée?

« Je pense que c’est un dépassement de soi parce que je ne l’aurais probablement jamais fait, même si je nageais déjà. Mais on se dit que ça a l’air génial et qu’on fait ça avec quelqu’un qui est dans la même situation que nous, et donc on n’a pas à se cacher. […] Je suis vraiment, vraiment épatée, vraiment contente de tout le monde. Ils se sont tellement bien débrouillés, tellement bien! »

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